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Here I come to save the day... or wreck it.

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VI
Slogan : Quel dommage... J'ai deux poings, et vous n'avez qu'un nez


VI
MessageSujet: Here I come to save the day... or wreck it. Here I come to save the day... or wreck it. Icon_minitimeJeu 2 Avr - 12:47


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›Nom › VI

› Surnom › Cogne de Piltover

› Sexe › Féminin, je crois. Attends, je vérifie...

› Race › Humaine, avec deux poings fonctionnels

› Origine › Allez savoir. Ses plus vieux souvenirs se situent à Piltover, en tout cas.

› Allégeance › Piltover.

› Profession › Adjoint du Shérif, fracasseuse professionnelle de crânes.


Description


› Physique › VI a la stature qui impose, mesurant 1m81 pour 73 kilos de muscles. Son l'apparence montre que la Shérif, bien qu'intransigeante, soit tolérante dans celle que peuvent avoir les membres des forces de l'ordre. Ses yeux bleus cyans contrastent avec ses cheveux, à l'origine châtains clairs, mais teints en permanence d'une couleur rose vif, sont mi longs du côté droits, et en partie rasés du côté gauche, souvent surmontés de lunettes Hextech pour décupler ses capacités visuelles et se protéger les yeux au besoin. Sur sa joue gauche, son prénom est tatoué d'une encre rouge un peu passée. Sur son cou, un autre tatouage apparait, formant des engrenages, représentant sa passion pour les assemblages Hextech. A droite, son visage porte plusieurs piercings : un sur la lèvre, un sur la narine, et deux sur le sourcil.


› Caractère › VI a un caractère fonceur, qui agit d'abord, et réfléchit ensuite. Sûre d'elle et de ses poings, elle n'hésite pas à foncer tête baissée pour distribuer des coups, sans vraiment écouter ce qu'on lui dit : on ne lui ordonne rien, on lui suggère simplement, avec une tendance à s'auto attribuer tous les mérites d'une réussite. Effrontée, sarcastique, elle n'hésite pas à jouer de provocation et à tester les limites, ce qui ne l'empêche pas de très vite se mettre en colère et devenir violente si on tente de faire la même chose avec elle ! Elle sait cependant être sérieuse lorsque la situation l'exige, et digne de confiance, et même si elle attire parfois des ennuis à sa partenaire de par ses manières, elle ne l'abandonnera jamais si sa sécurité est en danger.
Il lui arrive parfois quelques moments de mélancolie, ou les pensées sur elle, son passé, et son futur, l'assaillent. Les deux étant aussi incertains, il lui est difficile d'être en paix. Mais elle se reprend le plus souvent rapidement, se souvenant que le présent est ce qui compte le plus, et qu'il est fracassant !
Compétences

› Classe › Fighter
› Armes › Lorsqu'elle doit intervenir, ou combattre, Vi porte toujours sur elle ses immenses poings Hextech, fabriqués par ses soins, et grandement améliorés depuis qu'elle a rejoint l'équipe de Caitlyn. Ils décuplent sa force de façon phénoménale, le mécanisme auquel ils sont reliés dans son dos leur permet de libérer des décharges d'énergies, offensives ou défensives. Elle porte des plaques blindées sur un peu tout son corps, pour se protéger des coups et des balles lors des offensives sur le terrain, ou elle intervient en première ligne tandis que la Shérif couvre ses arrières.
Blast Shield
Le générateur Hextech dans mon dos crée un bouclier protécteur à chaque fois que j'utilise une de mes compétences sur le nez de quelqu'un. Bon, il lui faut un peu de temps pour se recharger, mais c'est pratique pour me jeter dans la mêlée et distribuer des coups sans en recevoir trop vite !

Vault Breaker
Je charge quelques secondes mes poings, avant de les relâcher, bondissant en avant grâce à l'énergie propulsée. Plus je les ai chargé longtemps, plus le coup est dévastateur

Denting Blows
Les récepteurs de mes poings analyse la cible qu'ils frappent, de façon à détecter ses faiblesses. Au troisième coup qu'elle se prend, BIM ! Je fais super mal.

Excessive Force
Mes gants se chargent d'énergie, que je peux relâcher dans une grande salve devant moi. Et comme j'ai deux poings, bah j'ai deux charges. Logique, non ?

Assault and Battery
Tu t'es déjà demandé à quoi me servent mes lunettes Hextech ? Je vais te le dire. A te viser, à te verrouiller, et à ne plus te lâcher la grappe. Autrement dit, je vais te foncer dessus en renversant avec délicatesse tout le monde sur mon passage et t'arriver dessus pour t'envoyer un grand coup de poing sous le menton. Un baptême de l'air ça te tente ?

Relations

Dites-nous qui fait partie de vos Amis/Collègues/Famille/Ennemis et vos relations avec.

icône
La Shérif, droite et rigoureuse, avec son accent ridicule. Ok, je suis un peu dure, mais je l'apprécie vraiment en fait. Elle m'a tirée de ma vie de criminelle, de ma solitude, en donnant un sens à mon existence, et m'endure malgré que je continue de jouer à pousser les limites en permanence. Mais faut dire qu'elle est coincée aussi...
Toujours est-il que malgré nos petites différences de caractère qui rende tout ça un peu explosif, je lui fait entièrement confiance, et sur le terrains, nous sommes en accord quasi parfait. Je sais que je peux compter sur elle, et elle pourra toujours compter sur moi, elle est ma partenaire, elle m'a fait confiance en me tendant la main, et je ne veux jamais avoir à la décevoir

icône
Monsieur le Héro de Piltover. Même s'il est super doué avec les inventions Hextech, et qu'il m'a bien amélioré les miennes, et fournies d'autres, qui sont particulièrement utiles pour aller fracasser la machoire des criminels... Le bonhomme est prétentieux au possible, et si Cait ne me l'interdisait pas, je apprendrai sûrement la modestie à grand coup sur le crâne

icône
Cette folle dingue sème le chaos à Piltover depuis quelques temps, ayant fait perdre toute la tranquillité à la ville depuis son arrivée, et ne cessant de se jouer de nous, de nous narguer, et de continuer ses crimes. Je ne sais pas pourquoi elle semble prendre un malin plaisir à me provoquer moi en particulier depuis le départ, mais si je l'attrape en dehors des champs de justice, je la brise en deux, parole de VI !



Grésillements. Comme un bourdon vrombissant dans mes pensées.
Une lumière blanche, aveuglante, dans mes yeux. Douleur sur ma joue gauche. Un cri étouffé, d’un visage à la mâchoire immobilisée.


« Elle sera le sujet 6 »

Clignotement lumineux. L’image se brouille, et s’estompe, remplacée par une autre.
Le regard d’une enfant, qui croise fugacement le mien. Maigre et l’air apeurée. De la peur, dans mes entrailles, moi aussi. Que m’arrive-t-il ? Pourquoi ne vois-je jamais deux fois le même visage ? J’aimerai trouver quelqu’un auquel m’attacher. Quelque chose. Que quelque chose me devienne familier !

Une sensation fugace, épineuse dans mon coude. De la nausée, des spasmes, des tremblements. Tout est blanc. Des sangles retiennent mes membres, sur un lit blanc, aux draps blancs, dans une pièce blanche. Des hommes, qui ignorent mes plaintes. Personne à appeler à l’aide.

Un voile noir forme un tunnel, dont le blanc n’est plus que le centre, et qui s’éloigne peu à peu. Bien vite, plus que du noir, une sensation d’étouffer. Un très mince rayon de lumière filtre entre deux planches. Des secousses, des chocs. Mes bras qui entourent mon visage pour le protéger. Les palpitations de mon cœur dans ma poitrine. Je n’aime pas le noir, pas plus que le blanc. Je veux de la couleur. Et sortir de là. Je n’aime pas être enfermée. Qu’on me laisse sortir… par pitié…


J’ouvris soudainement les yeux, inspirant une grande bouffée d’air, comme si c’était la première depuis des années. Perdue, choquée. Autour de moi, des garçons, des filles, plus vieux que moi pour la plupart, me regardaient en riant. Ma gorge me faisait mal. Ils avaient retiré le papier enroulé qui se consumait dans ma main, avec au centre une substance immonde. Le gout de la fumée reste dans ma bouche, encore.

Et puis, les connexion se remirent en place. Ils m’avaient dit d’inspirer ça, une grande bouffée, pour essayer. Et maintenant, ils riaient, sans doute de m’avoir vu perdre connaissance. Avec un sourire mauvais, je me redressai. Vous me pensez faibles ? Je vais vous montrer. Mes jointures craquèrent, mon bras se détendis, et dans un bruit de craquement, mon poing vola sur le nez de celui qui riait trop fort. Il ne s’y attendait pas, et resta un moment sous le choc. A à peine onze ans, même s’il en avait cinq de plus que moi et que je suis une fille, ça ne m’empêchait pas de savoir cogner !

Tous les autres se mirent à rire de plus belle en voyant sa réaction choquée, et je les accompagnait. Dans la rue, il faut savoir se faire respecter, et c’est de bonne guerre. Après tout, je faisais partie des leurs. Et maintenant le choc passé – j’avais vraiment pris une trop grande bouffée pour la première fois, tout ça parce que j’ai voulu fanfaronner sans écouter la mise en garde de certains -, une agréable sensation de grièveté m’habitait. J’avais envie de rire, j’avais envie de boire, et de m’éclater, dans cet entrepôt dont le gang avait fait sa planque.
Et ces fugaces images qui m’étaient apparues s’estompèrent aussitôt, enterrées bien profondément, oubliées aussi vite. Seul l’instant présent compte, ça ils me l’ont bien enseigné. Ces sensations ? Juste un bad trip. Ça arrive, faut pas s’y attarder, et commencer à se plaindre. VI ? C’est pour Violence, pas pour Victime !.

Je commençais à perdre le fil de la soirée. Les bouteilles de Vodka qui tournaient, bues directement au goulot. Volées plus tôt dans la journée, évidemment. Mais pourquoi se priver ? Il n’y avait aucune force de police compétente, et ils n’essayaient même pas de nous en empêcher. Pourquoi se les briser à respecter les lois, quand on peut juste prendre ce qu’on veut ? J’avais bien l’intention de profiter de ma vie au maximum, comme tous les autres ici autour de moi.

J’avais un peu mal au crâne pas possible en me réveillant. Tous les autres étaient encore en train de ronfler autour, comme des sacs de patate. Mais on récupérait bien vite,. C’est ça qui est bien quand on est jeune. Et que ce soit une très mauvaise idée de boire à mon âge ? Personne ne m’en avait jamais averti à l’époque, et même si c’était le cas, je m’en serait bien contrecarrée. Malgré le petit incident que j’avais déjà oublié, la soirée avait été cool, et le lendemain arrivé, j’étais impatiente. On avait un gros chat sur le feu, ce jour-là. Un raid sur un complexe minier, pour aller récupérer des diamants, et s’en mettre plein les poches. Le genre de chose qu’il valait mieux ne pas aller faire avec la gueule de bois, mais c’est pourtant bien ce qu’il risquait d’arriver, vu l’état des autres.

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Pourquoi se les briser à respecter les lois, quand on peut juste prendre ce qu’on veut ?
Parce que ceux grâce à qui tu prends essayent de vivre leur vie, du mieux qu’ils peuvent. Et payent les conséquences de tes actes à ta place.

Pourquoi ma vie aurait-elle plus d’importance que la leur ?

Dans un fracas assourdissant, les pierres se fendirent, roulant sur les côtés. Un autre coup, de ces poings Hextech totalement improvisés à partir de bouts de machines que j’avais pu assembler à la va-vite dans cette mine ou on étouffait sous la poussière de l’éboulement. Le reste du gang était parti, avec le butin en poche. Sans se soucier des mineurs qui étaient restés coincés à cause d’une maladresse de notre part, les condamnant à mourir étouffés dans un tunnel bouché. Et moi, pour la première fois depuis qu’ils m’avaient ramassé dans la rue à l’âge de six ans, je ne les avais pas suivis comme un toutou. J’avais dit non. Et j’étais restée.

Et maintenant, j’étais seule. Seule encore capable de sauver ces hommes pris au piège derrière l’éboulement. Je frappais, avec l’énergie du désespoir, depuis une dizaines de minutes, déjà. Epuisée, mais je ne renonçais pas, car chaque coup fendait un peu plus la pierre, et me rapprochait de mon but.
Enfin, un passage fini par se dégager. Ceux qui n’avaient pas été tués par l’effondrement, ceux qui avaient été pris au piège, étaient libres de sortir. Et la vie dans leurs yeux valait tous les diamants du monde, que le gang avait emporté avec lui, en les laissant à leur triste sort. A ce moment-là, je su que j’avais pris la bonne décision. C’était les gens comme eux, qui étaient prêts à sacrifier sans sourciller la vie d’êtres humains, pour les voler, et pouvoir vivre sans soucis et sans travail, qui méritaient d’être punis. Se noyer dans l’alcool pour ne pas penser au lendemain, défier les autorités ? Si c’était pour perdre toute morale, toute notion de la vie humaine… Non, je ne devais plus laisser faire ça.

Avec cette réalisation, du jour au lendemain, mon comportement, la ligne directrice de ma vie, changea entièrement. Je n’avais rien ni personne, gamine des rues aussi loin que ma mémoire remontait, et pas d’autres choix devant moi que la vie de criminelle si je voulais espérer survivre. Mais désormais, ce ne serait plus pour m’en prendre à ceux qui, comme ces mineurs, tentaient de survivre honnêtement, sans nuire à personne. Les seuls à qui je prendrai désormais, seraient ceux qui eux-même, n’avaient pas sué de leur front pour obtenir leur bien. Je ne voulais plus être comme eux.

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Assise sur un muret, abritée de la pluie par une simple gouttière, j’inspirais une bouffée de fumée sur une cigarette, maigre réchauffement dans cette soirée d’automne. Si j’avais gardé la date d’anniversaire qu’on m’avais attribuée, celle du jour de mon entrée dans le gang, autour de six ans, j’aurais fêté mon dix-septième anniversaire ce jour-là. Mais cette date ne signifiait plus rien pour moi, et je ne connaissais pas la vraie. Alors je comptais les années plus ou moins, sans trop savoir si je n’avais pas un an de plus ou de moins, au final.
Ou menait ma vie ? Sûrement plus bien loin. Si auparavant, les forces de polices étaient dérisoires, depuis l’arrivée de la Shérif il y a quelques années, il était de plus en plus difficile d’échapper aux mailles du filet. Et me faire arrêter était encore la solution la plus sûre, vu le nombre de personnes qui voulaient ma peau dehors. Un long soupire s’échappa de mes lèvres, tandis que mon mégot tombait sur le sol mouillé.
Fille solitaire, tolérée nulle part. La solitude me rongeait, et finirait par me tuer, si personne ne s’en chargeait avant. Je n’avais ni passé, ni futur, et le présent était bien morne. Et tout ce que je demandais, était quelque chose auquel me rattacher. Quelqu’un. N’importe quoi, qui pourrait me devenir familier, dans cette vie de criminelle fuyarde, ou rien ne restait jamais stable.
L’eau qui coulait sur mon visage n’était pas que celle de la pluie, ce soir là. Enveloppée dans un voile de tristesse et de solitude, jamais je ne pourrais oublier mes actes passés, malgré la distance qui me séparait désormais d’eux. Malgré les années. Je ne croyais pas en aucun dieu, mais quelles que soient les forces qui veillaient sur ce monde, je les implorais. Si elle pouvait entendre mon souhait… C’était épuisant.

Ce soir-là, tout devait basculer.
Rien qu’un cambriolage de plus, dans l’appartement d’une fripouille notoire. Il avait l’air simple, pourtant, en apparence. Peut-être même trop. Sans doute, si j’avais pris plus de temps pour réfléchir, je me serai méfiée de cette partie bien trop simple, tandis que les griffes d’un piège monté par la Shérif se refermaient sur moi. Est-ce que je regrette de ne pas m’être méfiée ? Pas le moins du monde, même si je me sens idiote en y repensant. J’aurais quand même pu opposer un peu plus de résistance, pour ma fierté personnelle.

Acculée, sans échappatoire possibles. Ils avaient bien calculé leur coup. Ils m’ont laissé faire mon petit cambriolage, sans intervenir, dissimulés, jusqu’à ce que je pénètre dans une pièce sans fenêtre, sans autre sortie. Et là, le déploiement immédiat, sans me laisser la moindre chance de fuite.
Au moment où je m’apprêtais à foncer dans le tas, poings en avant, préférant mourir d’une balle dans la tête que de finir mes jours à moisir dans une prison sordide, à mon grand étonnement, la Shérif elle-même ordonna aux forces de police de s’écarter, et de la laisser partir.
Je restai figée sur place un instant, dans l’incompréhension la plus totale. Son fusil sur l’épaule, Caitlyn dans son uniforme d’officier, m’expliqua qu’elle souhaitait me donner une chance de me racheter, en rejoignant les forces de polices, et que si j’étais intéressée, je pourrais venir en discuter en me présentant de moi-même au commissariat, me promettant de ne pas m’appréhender.

J’éclatai de rire à ces mots. Le stress, la nervosité, et le côté cocasse de la situation. Moi, la délinquante criminelle, traquée depuis un moment, on était en train de me proposer… De devenir flic ?
Comme promis, elle me laissa partir. Libre. Vraiment pas ce à quoi je m’attendais en les voyant débouler ainsi, je dois l’avouer.
Toute la nuit, cette proposition me trotta dans la tête. J’essayais de m’imaginer à cette place… Moi, la criminelle de toujours, la fille des rues, en marge de la société, incarner l’autorité ?
L’idée était ridicule. Et pourtant…

Appréhender les criminels que j’avais cherché à punir depuis des années, sans avoir à fuir la police ? Avoir quelque chose de régulier… De stable.
Le sommeil finit par me gagner, sous l’épuisement et les émotions de la journée. Mais une légère étincelle d’espoir s’était allumée au plus profond de moi, que la nuit, porteuse de conseil, entretiendrait.
Au petit matin, avec un léger sourire aux lèvres, je pris pour la première fois de ma vie le chemin du commissariat. Même si elle me paraissait folle, cette idée me plaisait. Après tout, qu’est-ce que j’avais à perdre ?

Vous ?

› Prénom ou pseudo › Sarah / anïankah
› Age › 20 piges
› Métier/Etudes › Neuropsy
› Passion ? › Le RP, et le chocolat. Et les jeux videos. Et le dessin.
› Double compte ? › Katarina (j'aime la violence, vous avez remarqué ?)
› Autre chose ? › OMG JINX GTFO

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Anonymous

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MessageSujet: Re: Here I come to save the day... or wreck it. Here I come to save the day... or wreck it. Icon_minitimeJeu 2 Avr - 13:44
Hey hey !

...

VI STANDS FOR STUPIIIIID !!
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VI
Slogan : Quel dommage... J'ai deux poings, et vous n'avez qu'un nez


VI
MessageSujet: Re: Here I come to save the day... or wreck it. Here I come to save the day... or wreck it. Icon_minitimeJeu 2 Avr - 15:49
Fini !
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Sona Buvelle
Slogan : ... =)


Sona Buvelle
MessageSujet: Re: Here I come to save the day... or wreck it. Here I come to save the day... or wreck it. Icon_minitimeJeu 2 Avr - 16:19
Bah écoute pour moi tout est ok, j'ai beaucoup aimé comment tu avais écrit ton histoire ^^
Tu as ma validation, plus qu'à attendre celle de Sona =)
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Anonymous

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MessageSujet: Re: Here I come to save the day... or wreck it. Here I come to save the day... or wreck it. Icon_minitimeSam 4 Avr - 10:18
Voilà,

Alors premièrement, tu as ma validation, ça c'est clair net et précis.
Tes compétences m'ont amusés, surtout l'ulti.
J'ai beaucoup, beaucoup, beaucoup apprécié ton histoire que j'ai lu sans en perdre une miette jusqu'à la fin.
Tu as ma validation, donc faut passer par le journal et tu pourras commencer ton rp.

Bienvenue et amuse toi bien.
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MessageSujet: Re: Here I come to save the day... or wreck it. Here I come to save the day... or wreck it. Icon_minitime
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Here I come to save the day... or wreck it.

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